La Fondation suisse pour la protection et l'aménagement du paysage (SL-FP) œuvre en faveur de la protection, de l'entretien et de la valorisation des paysages de Suisse, en collaboration avec des personnes engagées au niveau local.
La Fondation suisse pour la protection et l'aménagement du paysage (SL-FP) œuvre en faveur de la protection, de l'entretien et de la valorisation des paysages de Suisse, en collaboration avec des personnes engagées au niveau local.
Nouvelle codirection à la tête de la Fondation suisse pour la protection et l’aménagement du paysage
Après 33 années engagées et fructueuses, Raimund Rodewald remet ses fonctions de directeur de la Fondation suisse pour la protection et l’aménagement du paysage (SL-FP). La SL-FP le remercie pour son formidable engagement. Raimund Rodewald a assumé son rôle de manière très large et a veillé à assurer à la SL-FP une présence forte et durable dans le domaine de l’aménagement du paysage. «Depuis les années nonante, j’ai travaillé corps et âme pour la SL-FP, et je suis heureux qu’une nouvelle direction en laquelle j’ai entièrement confiance soit prête à prendre le relais.»
Depuis le 1er novembre 2024, Franziska Grossenbacher et Rahel Marti forment la nouvelle codirection de la SL-FP. Franziska Grossenbacher est géographe et a travaillé comme collaboratrice scientifique à l’Office fédéral de l’agriculture. Elle travaille à la SL-FP depuis 2016, notamment dans le domaine des activités politiques, et y a occupé la fonction de directrice suppléante. Rahel Marti a étudié l’architecture et l’aménagement du territoire et a travaillé comme journaliste et rédactrice pour le magazine Hochparterre. Elle était notamment rédactrice en chef adjointe et co-directrice de cet éditeur indépendant.
Die Stimme des Landschaftsschutzes der ersten Stunde ist verstummt.
(Kapitel 5 «Versorgung, Entsorgung»; Kapitel 5.4 «Energie»)
Stellungnahme der Stiftung Landschaftsschutz Schweiz
Die Umweltkommission des Ständerats, die bekanntlich mit Hardlinern in Umweltfragen besetzt ist, geht weiter vor gegen den Umweltschutz in unserem Lande.
Das Verbandsbeschwerderecht besteht seit der von der Schweiz ratifizierten Aarhus-Konvention in ganz Europa. Nachdem vor der Volksabstimmung zum Stromversorgungsgesetz noch hoch und heilig erklärt wurde, dass das Verbandsbeschwerderecht erhalten bleibt – worauf die Umweltverbände die Vorlage unterstützten –, soll dieses nun abgeschafft werden. Zudem sollen auch die ökologischen Ersatzmassnahmen (ein weiterer wesentlicher Bestandteil des im Juni vom Volk angenommenen Mantelerlasses) ausgehebelt werden. Damit wird das Willkürverbot der Bundesverfassung ausser Kraft gesetzt und die Justiz in einem wichtigen Teilbereich abgeschafft! Die UREK lädt damit die lokalen und kantonalen Behörden ein, gegen die Schutzgesetze zu verstossen, da nun gar keine Klage und daher kein Gericht mehr zugelassen wird. Der nächste Schritt wird die gänzliche Abschaffung des Beschwerderechts sein, da die UREK ja auch die extreme St. Galler Standesinitiative gutgeheissen hat.
Eine solche Powerplay-Politik der Mehrheit ist zutiefst unschweizerisch und kann nur mit einem Referendum beantwortet werden!